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La Vilaine Fabrique 

  Un atelier low tech pour fabriquer des mondes nouveaux, sobres, ingénieux et conviviaux ! 

Un projet émergent du collectif L'Îlot Vivant 




I. Les grandes lignes de l'aventure low-tech & collective de la ViF !


** Utopie en fabrication ** 

Qui ? La Vilaine Fabrique (la “ViF”), c’est le début d’une aventure collective low-tech qui rassemble une joyeuse équipe de 7 jeunes ingénieur-es, artisan-nes, entrepreneur-ses, militant-es, passionné-es par l’énergie, la mécanique, le bois, l’eau et le soleil, la résilience collective de notre territoire et, bien sûr, le Vivant !

Quoi ? Le projet c'est un atelier collectif d'artisanat, pour fabriquer des low-tech, en mettant en commun matériaux, savoir-faire et utopies !

Pourquoi ? Pour se ré-approprier la production de nos techniques localement et collectivement et ainsi les rendre plus sobres (matériaux locaux ou de ré-emploi), durables (fini l'obsolescence programmée), accessibles et utiles à tous-tes…!

Des exemples ? Ce sera autant des poêles rocket pour cuisiner, des stérilisateurs à bois pour conserver les surplus des paysan-nes du secteur, des chauffe-eau solaires pour se chauffer sans énergies fossiles, des yourtes et autres habitats réversibles pour se loger sans béton ni artificialisation des sols… et bien d'autres "technos" à venir !

Un projet de bricolos quoi  ? Oui, mais l'idée de la Vilaine Fabrique, en plus d'un atelier, c'est aussi de constituer un groupe de diagnostic de besoins locaux (auprès des habitant-es, paysan-nes..), une matériauthèque couplée à un réseau de partenaires pour du réemploi, un lieu test d'expérimentation à la ferme, un espace et de formation, et un pôle de ressources pour des jeunes (ou moins jeunes) bricoleur-ses qui veulent se lancer dans les low-tech ! 

Avec qui ? Ces techniques là, si on veut les fabriquer ici, sur nos territoires, c'est donc aussi pour en faire des supports de… convivialité ! Ré-apprendre à faire ensemble, mutualiser des outils, retrouver un artisanat de proximité, des réseaux d'entraide, une ingéniosité partagée, des savoir-faire transmissibles...

Voilà l’utopie à laquelle on s’attelle, avec pragmatisme de nos mains !

** Un projet en pleine éclosion ! ** 

→ Aujourd’hui, la Vilaine Fabrique c’est déjà  : 

1) Un atelier et une matériauthèque en cours de ré-aménagement, situés dans un hangar sur la ferme bio multi-activité des Petits Chapelais, à Chavagne, dans le Sud Ouest Rennes. A 200 mètres coulent les eaux de la Vilaine (d’où notre nom !).

A l'heure où l'on partage cette demande de financement participatif, on vient de terminer un chantier participatif de terre-paille pour aménager une partie bureau isolée du reste de l'atelier, d'où l'on pourra travailler sur la conception et les plans des futurs technos ! (On en profite pour dire merci à tous-tes celles et ceux qui sont passez nous aider !)


2) Des premières expérimentations low-tech de :
- Chauffe-eau / panneaux solaires thermiques

- Poêles de masse / poêles rocket 
- Cantine mobile 
- Eco-construction et habitats légers (ex : flex-yourte)
On vous en parle plus un peu plus bas !

3) Une fine équipe joyeusement (et ingénieusement) déterminée !


                  (L'équipe circulaire en plein boulot - ok, les outils sont pas très low-tech)  

* Gaspard est ingénieur en génie mécanique, diplômé de l’INSA Strasbourg et animateur et directeur de colonies de vacances depuis 10 ans. Suite à ses études, il participe durant 8 mois au montage d’un fablab orienté low-tech au sein de l’association  Evaleco basée à Grasse (06). En 2019 il rejoint l'association La Bascule qui réunit durant 9 mois à Pontivy (centre bretagne) entre cinquante et cent jeunes et citoyen.nes un grand tiers-lieu éphémère (une ancienne clinique), à la fois lieu de vie, de travail et d’expérimentation autour des transitions. C’est durant cette période qu’il initie, avec quelques personnes, l’association Îlot Vivant, qui s’installe durablement dans la métropole Rennaise en janvier 2020, et qui devient le cadre propice pour développer son rêve d'étudiant (si si !) : devenir un ingénieur qui produit des techniques, non plus destructrices ou basées sur le béton, mais sobres, ingénieuses et au service des besoins locaux d'un territoire ! Il s'attèle donc désormais à la coordination du projet de la Vilaine Fabrique. 
C'est ainsi que l'aventure low-tech de la ViF devient son activité principale à l'Îlot Vivant. Et ce, pour a priori pour de longues et belles années : le lorrain aura désormais du mal à se décoller du sol breton et de l'écosystème de low-tech et de sourires qui se tisse ici !


Mathias, ingénieur UTC spécialisé dans l’énergie, qui après avoir participé a créer, en 2018, Solévent, une société citoyenne au format coopératif ayant pour but de produire de l’énergie renouvelable, puis après un voyage sur le continent américain pour découvrir des initatives low-tech et zéro déchets, développe à présent le projet Heoldour au sein de la Vilaine Fabrique ! L'idée ? Permettre de diffuser les systèmes low-tech auprès de personnes en précarité énergétique via de l’animation de stages d’auto-construction (ex : de chauffe-eaux solaires) et de coordination de chantiers de solidarité. Ce projet a récemment été lauréat de l’appel à projet Chauffe-toi mené par le réseau Eco-Habitat.

Il est à la fois l'entrepreneur méticuleux du groupe, mais aussi un bricoleur sensible qui se passionne pour le Vivant - les abeilles, le printemps qui vient... - et est toujours là pour prendre soin de nous autres !


Hélène est spécialisée dans le domaine du bâtiment, après un double cursus d’architecture d’ingénierie climatique et énergétique à l’INSA de Strasbourg. Son activité associative commence durant ses études avec Ingénieurs Sans Frontières, où elle se forme et forme d’autres étudiants aux enjeux du dérèglement climatique et à l’éducation populaire. Après un premier emploi en bureau d’étude, elle a rejoint l'équipe de la Vilaine Fabrique avec l’envie d’expérimenter des travaux plus concrets, notamment en développant l’éco-construction, via le réemploi (suite à un service civique à la Belle Déchette) et les matériaux bio-sourcés !

Toujours partante pour prendre des choses en main, notamment quand ca implique des équipes, du participatif, de l'entre-formation, c'est elle qui est aux manettes du chantier de ré-aménagement du (feu !) hangar à cochon en atelier low-tech partagé !



* Philémon  est ingénieur en mécanique. Après ses études à l’EPFL de Lausanne, il travaille sur les biocomposites à base de fibre de lin en collaboration avec le Low-tech Lab, vogue sur le Nomade des mers, découvre des low-tech ici et là... Il effectue ensuite un voyage de 2 ans sur un voilier, autour du monde, pour finalement revenir en Bretagne. Il réalise alors que les bureaux d’études existants offrent des solutions inappropriées sur les enjeux énergétiques et agricoles et se tourne vers le milieu associatif qui lui semble plus pragmatique.
Expert de grade 37 en noeuds, bricoleur insatiable, il est toujours avide d’apprendre et de transmettre, ce qui l'amène à animer notamment les stages d’auto-construction. Sans cesse en train de développer de nouveaux savoir-faire et outils - souvent jusqu'à la nuit - on a pris l'habitude de dire "Philémon, donnez lui des palettes, il vous fabrique un frigo !". 

* Loréna a également une formation d’ingénieure, orientée vers la gestion de l’eau et de l’environnement. Au cours de sa dernière année d’école, elle effectue un double diplôme et part se former au Québec sur les sujets de transition sociale et écologique. Après avoir mené des projets dans plusieurs domaines (biodiversité, économie sociale et solidaire, traitement des eaux usées, éducation relative à l’environnement…), elle réalise qu’elle souhaite réfléchir à des solutions concrètes, mais plus sobres et respectueuses du vivant.
Bien que bien occupée pour le moment (à développer une activité de transformation laitière sur la ferme, avec sa fidèle camarade Nolwenn, vachère passionnée, employée sur la ferme et également membre de l'îlot Vivant depuis l'été dernier), elle s'impliquera au sein de la Vilaine Fabrique, pour développer plus particulièrement des low-tech liées à la gestion de l’eau : récupération, irrigation, traitement par phyto-épuration…
Pour elle, les Low Tech permettent non seulement de se réapproprier des savoirs faire, mais également de gagner en confiance en soi et en ses capacités, tout en proposant des solutions durables. Elle souhaite participer au développement de l’atelier pour donner l’opportunité au plus grand nombre de se sentir capable de construire ses propres outils et systèmes... et on peut compter sur elle pour le faire toujours avec passion, en musique et en chansons !

* Axel est ingénieur mécatronique des Mines. Après deux années de carrière dans l’industrie aéronautique et l’informatique, il décide de se projeter dans une trajectoire de vie plus proches de ses valeurs et convictions. Après quelques mois à aménager un camion aux petits oignons, il rejoint l’Îlot Vivant et apporte de nombreux savoir-faire pratiques... qu'il n'a de cesse de vouloir enrichir ! Il s'intéresse aujourd'hui autant à la forge, qu'aux matériaux bisourcés, à la charpente et aux outils de sciage du bois, mais aussi aux techniques utiles à l’agro-écologie et l'agro-foresterie. Il est donc naturellement devenu référent sur les questions d’outillage paysan (dans le cadre de la dynamique PALETT - Projet Agro-écologique, Low-tech et Educatif de Transition Territoriale), qui un des axes forts de la Vilaine Fabrique du fait de son implantation sur la Ferme multi-activité des Petits Chapelais.
Son grand rire et sa détermination à vouloir toujours plus accorder ses valeurs et ses actes, sont précieux dans le lancement d'une aventure qui se veut à la fois conviviale et en prise sur nos responsabilités d'humains !

* Sébastien est l'intru de la bande, puisque - bouuuh - il n'a pas fait de cursus d'ingé et ne comprend pas encore tout quand ses camarades se mettent à parler de mécanique ou d'énergie ! Mais ses études en sciences humaines (à Sciences Po Rennes / Caen), son rôle de lien entre les différentes activités de l'Îlot Vivant (qu'il a participé a initier avec Gaspard), et surtout ses convictions quant à la nécessité de changer profondément nos manières de produire et de vivre, l'amène aussi à s'impliquer dans le développement de la Vilaine Fabrique (lui aussi était passé quelques mois par le low-tech Lab quand il était jeune). Il se charge à la fois d'une partie des aspects financiers du projet, de l'inclusion progressive de nouveaux-elles membres, et des coopérations avec d'autres acteurs/actrices du territoire pour initier des projets coopératifs autour des enjeux de sobriété. Ayant une très haute estime pour les paysan-nes et leur monde, il va ainsi participer, par exemple, au développement d'un projet de conserverie mobile low-tech mutualisé entre différentes paysan-nes du secteur, des associations de solidarité alimentaire, et la ViF.
Toujours présent quand il faut parler de stratégie à long-terme ou d'ancrage sur le territoire, prêt à travailler autant qu'il le faudra pour atteindre ce qu'on pense être de belles et nécessaires ambitions, il aime aussi comprendre et "challenger" ses joyeux camarades ou participer à mettre les mains/bottes à la terre(-paille) entre deux mails !

Et à côté de cette équipe bien investie gravite déjà tout un écosystème de personnes qui participent à leur manière au projet de la Vilaine Fabrique : des camarades de l'Îlot Vivant qui nous soutiennent et nous aident au quotidien - Benjamin, Nolwenn, Samuel, Matthieu - des collègues d'autres associations locales ou des paysan-nes du coin qui partagent leur regard ou encore des wwoofeurs-ses et personnes de passages viennent s'impliquer sur des chantiers . On en profite pour les remercier tous-tes !



            A la ViF, on aime bien rigoler avec les amis de passage aussi (surtout quand les collègues s'activent à côté !).
 

II. Un coup de pouce financier, 
pour aller ou ?

Ces quelques lignes lues, vous savez désormais où on en est dans ce modeste début d'aventure. Mais justement tout l'enjeu, maintenant, c'est de pouvoir s'équiper pour aller beaucoup plus loin ! L'idée c'est de passer un cap, de passer du stade où l'on bricole pour nous dans un hangar à cochon (on exagère à peine), à stade où l'on a un vrai atelier partagé permettant à des bricoleur-ses et porteur-ses de projet ingénieux-ses de fabriquer, de manière artisanale mais exigeante, des low-tech pour les habitant-es, paysann-nes, collectivités de notre territoire !

Votre sympathique coup de pouce financier nous permettra donc à financer ce qu’on appelle “des communs” ! C’est à dire des ressources partagées, qui servent et sont gérées par une communauté d’usagers impliqués dans le devenir de cette ressource. Qu’il s’agisse de l’atelier, des outils, des low-tech ou du véhicule, on a bien l’intention qu’ils deviennent des communs au service de celles et ceux qui voudront s’engager dans les low-tech à nos côtés! (d’où le statut associatif, et bientôt coopératif, de l’atelier!)

L’aide que nous demandons pour chacun de ces postes de dépense ne couvre pas la totalité du budget nécessaire, mais on y met nous même un peu d’argent, que les coups de pouce demandés viendront compléter ! Merci pour ça !  

** Un atelier partagé bien aménagé, prêt à accueillir 
des formations et des publics variés ! **

L’argent mobilisé permettra premièrement de réaliser une partie des investissements pour la seconde phase d’aménagement de l’atelier (à réaliser à l’automne 2021), qui passera définitivement du hangar à cochon à l’atelier ouvert, sécurisé, partagé ! 

Il pourra ainsi servir, non plus seulement à notre équipe, mais aussi à accueillir des publics extérieurs plus nombreux (porteurs-es de projets, Rennais-es et habitant-es alentours, visiteur-ses, personnes en formation…) pour des sessions de fabrication low-tech. 

Parmi les différents travaux à financer : 

- Cloisons en éco-construction en terre-paille pour réaliser différents espaces de travail ; isolation ; amélioration des réseaux électriques, eau et d’assainissement.
- Ouvertures et baies vitrées pour ouvrir l’atelier sur la vue vers les prairies et.... la Vilaine (notre fleuve préféré) ! On veut que les gens puissent avoir le regard qui porte vers le vivant, les flots, le courant quand ils-elles bricolent !
- Aménagement d'un nouvel espace de stockage qui nous permettra de proposer une matériauthèque d'ex-déchets comme belles matières premières !  

Pour ça, on a déjà besoin d’un gros coup de pouce de 3500€ (pourtant croyez bien que toutes les économies qu’on pourra faire, on les fera, preuve en est d’ailleurs de ce budget, somme toute limité au vu de tous les travaux à mener !)  

** De l’outillage pour fabriquer 
des low-tech performantes ! ** 

- L’achat de nouveaux outils permettra de se lancer dans des expérimentations low-tech avec plus d’efficacité et de précision ! Et oui, malheureusement on évite pas ce paradoxe (des outils high-tech pour un projet low-tech ? super...!). Mais on fait le choix de l’efficacité dans la fabrication pour le moment, parce qu’on veut quand même professionnaliser et diffuser les low-tech. Reste qu’on a la ferme intention, à terme, de bricoler des modules d’outils (perceuses-visseuses notamment), qui puissent se coupler à un pédalier pour visser à la force des mollets !

Parmi les différents outils à financer :
- pour le travail du métal : postes à souder, meuleuses...
- pour le travail du bois : électroportatif, scie à ruban, tronçonneuse, matériaux pour fabrication d'une scierie mobile...mais aussi ciseaux à bois, gouges, scies égoïnes,...
- pour lancer la forge : enclumes, briques réfractaires pour le four...
- et pour pleins d'autres outils plus spécifiques (par exemple pour la plomberie)  

Et voilà, on en vient déjà à un besoin de 2500€ supplémentaires… ! Le prix à payer pour monter en gamme et faire en sorte que les low-tech conçues soient suffisamment performantes pour ne plus rester stockées dans un coin de cave ! 


** Des low-tech version améliorées
 et des nouveaux bébés ! **

L'idée, on l'a dit, c'est de fabriquer des low-tech suffisamment performantes pour qu'on puisse les utiliser quotidiennement (et plus seulement en modèles d'exposition). Pour ça, on multiplie les test, et il nous faut donc investir parfois dans de la matière première, notamment pour les :  

* Chauffe-eau solaires thermiques & poêles de masse versions améliorées : 

On a expérimenté des versions n°1 de poêles de masse, et des versions n°1/2/3 des chauffe-eaux solaire. L’idée à terme est de pouvoir coupler le solaire et le bois pour chauffer des habitats, avec des techniques issues de ré-emploi, mobilisant des procédés efficaces (ex : double combustion), sans passer par l’électricité/le photovoltaïque (plus consommateurs de métaux) et en profitant de la complémentarité des sources d’énergie renouvelables !

Les prochains investissements permettront de continuer à améliorer ces techniques, pour pouvoir participer à les partager ici, à côté d’autres acteurs présents sur d’autres territoires ! 

Et si on récupère des bidons, des ballons, des radiateurs, des vitres usagé(e)s, on a besoin de compléter ça par quelques achats de neuf : chamotte réfractaire, raccords de plomberie, thermomètres, tuyauterie… !  

* Cuisine et atelier de transformation alimentaire mobile et low-tech 

Une cantine mobile low-tech est en cours de fabrication. La structure est déjà en place, avec tiroirs, éviers, bâche déployable, panneaux solaires thermiques intégrés… Mais il nous reste encore à l’équiper de divers ustensiles, à installer les bacs thermiques qui permettront de garder les aliments au chaud/froid, et surtout à fabriquer les poêles rocket, qui seront équipés de billig (on va envoyer de la crêêêêpe !) et d’un petit four, tout ça chauffé au bois local ! 

Il nous faut encore quelques billets avant de pouvoir aller cuisiner low-tech dans les évènements et montrer qu’avec un peu d’ingéniosité et en repensant nos habitudes, on peut se passer du gaz russe, même pour faire à manger pour 100 personnes !

* Et dans les mois et années à venir, on va aussi (re)fabriquer :
- Habitats légers : flex-yourtes en version améliorée
- Low-tech paysannes : stérélisateur à bois, serre Jean Pain, forge et auto-fabrication d’outils de maraîchage, phyto-épuration améliorées
- Solutions de transport doux : vélomobiles, remorques à vélo version améliorée,

Pour nous aider à acheter les matières premières (non récupérables) avec lesquelles on va construire quelques-unes ces futurs prototype, le budget estimé est de 2000€

** Une camionnette pour aller récupérer 
les déchets à ré-employer !** 

Enfin, le dernier gros coup de pouce qu’on demande nous permettra de nous aider à financer une camionnette (d’occasion bien sûr), qui aura pour rôle d’aller chercher, dans les déchetteries avec lesquelles on commence à avoir des conventions, mais aussi chez les futur-es artisan-nes partenaires, des matériaux voués à devenir des déchets là où ils sont pour nous et les low-tech, de superbes ressources

Or, des vitres, des bidons de 200 litres, des radiateurs, des tonnes d’argile, et bien ça prend de la place. Il va nous falloir autre chose que notre petite saxo mutualisée pour tracter ces nouvelles ressources jusqu’à l’atelier-matériauthèque de la Vilaine Fabrique ! 

Sans compter que la camionnette nous permettra aussi de tracter la Cantine Mobile Low-tech pour aller faire de la sensibilisation aux low-tech en régalant les papilles des habitant-es sur différents lieux et évènements du territoire du Sud Rennes ! 

Le gros soutien qu’on demande ici est de 4000€, ce qui nous permettrait de compléter avec nos (maigres) deniers pour acheter la camionnette (et pendant ce temps on se muscle les mollets, pour un jour, qui sait, pouvoir faire tout cette récup en vélo-cargo) ! 


III. Contexte - petite histoire de la ViF 

au sein de l'Îlot Vivant ! 

La Vilaine Fabrique s’est développée au sein du collectif associatif Îlot Vivant, basé à Chavagne dans le Sud Rennes, non loin de la Vilaine, sur la ferme diversifiée biologique des Petits Chapelais. Le collectif est composé d’une quinzaine de membres engagés depuis 2020 dans les transformations écologiques, sociales et culturelles de notre territoire, via des projets autour de l’agriculture paysanne, l’alimentation, l’artisanat, l’habitat léger, qui tissent un réseaux de personnes, de lieux, de liens...  

Et c'est justement grâce à cet écosystème de personnes, attachées à un territoire, et de projets de transitions intégrales, que la Vilaine Fabrique a pu voir le jour et se construire une ADN coopérative et des ambitions si transversales !

Pour en savoir plus, vous pouvez retrouver nos différentes publications sur le facebook de l'Îlot Vivant

Et pour ce qui concerne plus directement l'aventure de la Vilaine Fabrique, dans le bouillonnement d'activités multiples de l'îlot Vivant, en voilà les étapes et activités sur cette année passée aux bords des étangs de notre belle Vilaine ! 


                     Des joyeux-ses membres de l'Îlot Vivant, devant l'un des nombreux étangs qui bordent la ferme et la Vallée de                             Vilaine. Les low-tech, c'est aussi pour produire des techniques plus respectueuses de nos beaux territoires !

* Printemps 2019- hiver 2020 : C’est dans les tuyaux ! 
Gaspard et Sébastien, participent à l’aventure de La Bascule à Pontivy, un mouvement de jeunes engagé pour les transitions écologiques et sociales qui, bouillonnant d'envies, se rassemblent dans un grand tiers-lieu pour initier des projets communs d'envergue locale ou nationale. C'est l’occasion de faire nos armes dans l’engagement associatif, de rencontrer différents acteurs bretons (dont le Low-tech Lab et l'Atelier Paysan!) et de préparer les bases du collectif L’Îlot Vivant !  

* Printemps 2020 : Une rencontre et l'utopie qui pointe ! 
L’Îlot Vivant se fixe sur Rennes et permet la mise en lien de 3 jeunes ingénieurs - Gaspard, Mathias et Philémon - qui commencent à comploter une aventure collective autour des Low-tech, pour répondre à certains besoins techniques du territoire rennais de manière alternative ! Un rêve de gosse s’amorce.   

* Eté et automne 2020 : C'est sur les rails ! Premières expérimentations, premiers évenements. 
- Axel, qui vient de terminer l’aménagement (aux petits oignons) de son camion, rejoint l’équipe !
- Organisation d’un premier atelier collectif Low-tech sur un week-end, avec des membres du groupe Low-tech Rennes sur la ferme
- Accueil d’une formation “Four solaire”, co-organisée par Hameaux Légers et Bolivia Inti.
- Fabrication et installation d’une flexyourte - une yourte faite de bambous !
- Fabrication (avec l'association Hameaux Légers) et mise en service de deux poêles-rockets de masse - il était temps, l’hiver arrive et la double combustion n’est pas de trop !
- Obtention d’une subvention par l’Ademe, qui permettra de financer des dépenses d’animation et d’expérimentation pour un projet nommé PALETT (Projet alimentaire, Low-tech et Educatif de Transition Territoriale). Cette action a pris du retard, notamment à cause du contexte sanitaire, et sera lancée courant automne 2021, notamment grâce aux travaux qui auront pu être menés !

* Hiver et printemps 2021 : On passe la seconde ! 
- Hélène et Loréna rejoignent l’équipe ! Youpi, les low-tech ne sont plus qu’une histoire de gars !
- Fabrication de panneaux solaires thermiques à partir d’anciens radiateurs, puis améliorations lors de fabrication d’une V2 et V3
- Lancement de la fabrication de la cuisine mobile (en cours - voir détail plus haut)
- Organisation d’après-midi de visites ouvertes à tous pour présenter les expérimentations low-tech et permettre l’implication citoyenne
- Premiers réaménagements du "hangar à cochons" en atelier, puis organisation d’un premier chantier participatif terre-paille pour réaliser un bureau isolé.
- Chantier de récupération de matériaux sur des maisons devant être démolies, en lien avec les collectivités locales et des particuliers. On y a récupéré plein de... marbre ! Bon et plus utilement : du bois, des huisseries, du matériel électrique..!
- Prise de contacts avec des collectivités et financeurs pour avoir accès à des déchetteries et obtenir des soutiens financiers... qui eux n’arrivent pas, ou pas comme on veut : ils ne veulent nous financer que des études de faisabilité alors que ce dont on a besoin, c’est de matériel !
- On se dit donc, après quelques hésitations sur notre légitimité à le faire, qu’on va faire appel à la générosité de celles et ceux que les low-tech intéressent pour financer les "communs matériels" du projet !

* Eté et perspectives sur la suite de 2021 : Ça devient sérieux (tout en restant joyeux !) 
- Organisation des premiers stages, pour former à l’auto-construction de panneaux solaires thermiques et de poêles de masse
- Lancement de la campagne de financement participatif !
- Organisation des événements et contreparties pour remercier les personnes qui nous ont soutenu (banquet low-tech, petites formations) !
- Organisation du second chantier d’aménagement de l’atelier : l’atelier devient un espace utilisable par et pour des groupes (en formation par ex) avec différents espaces de travail, pour les différents matériaux !
- Mise en fonctionnement de la cuisine low-tech lors d’évènements sur le territoire (si on a réussi à acheter de quoi la tracter !)
- Construction de nouvelles techniques (voir plus haut) et lancement opérationnel du projet PALETT (voir ci-dessus)
- Recrutement d’une personne sur la dimension “matériauthèque” du projet de la ViF, démarchage pour un lieu de stockage, sourcing de nouveaux matériaux, partenariats approfondis avec les collectivités, artisans et déchetteries pour récupérer les matériaux utiles à la construction de low-tech    

* Et en 2022 / 2023 ? Vers une coopérative low-tech multi-activités...? 
- structuration en SCIC (société coopérative d’intérêt collectif) pour rassembler plus d’acteurs
- structuration en espace et réseau d’incubation/accompagnement de porteurs-ses de projet low-tech, pour être de plus en plus nombreux-ses à faire le choix de ces métiers- expérimentation de nouvelles low-tech (scierie mobile, low-tech agricoles…)
- organisation d’évènements thématiques pour initier la réflexion sur la place des low-tech dans les métiers et pratiques alternatives (ex : journée du bois et de la sylviculture douce)
- mise en œuvre de la dimension d’installation de low-tech (panneaux thermiques, poêles bouilleurs…) chez des particuliers et travail administratif impliqué (ex : mise aux normes)
- organisation de la démarche de sensibilisation / animation plus large : interventions dans les lycées, dans les facs, mise en place d’un festival low-tech, de chantiers-écoles… 
 



IV. Les low-tech, c'est quoi en fait ?  

** Une démarche qui remonte aux racines du problème, 
qui s'en indigne et qui cherche à faire autrement **  


La démarche low-tech, qui peut être traduit littéralement par basse technologie, est définie en opposition à celle dite high-tech, dépendante des énergies fossiles et qui s’accompagne de la surproduction de déchets, d’inégalités sociales, et de bien d’autres externalités négatives qui sont autant de fléaux pour les écosystèmes terrestres. 

Elle ne se confond pas avec la démarche de transition énergétique menée à coup de grand projet éoliens ou photovoltaïques, ni avec les transitions vers le tout-numérique / tout-électrique.
Ces formes de transitions là, du point de vue de la low-tech, sont considérées comme des impasses “extractivistes”, car elles sont basées sur l’extraction de ressources à l’autre bout du monde. Or l’extraction de ces ressources, si elle est facteur de croissance économique pour les plus aisés, génère toujours plus de misère écologique et sociale pour les plus précaires. Ces ressources, que sont le bien connu pétrole, mais aussi les moins connus métaux rares (pourtant essentiel dans chacune des technologies high-tech) sont par ailleurs en train de s’épuiser à vitesse grand V, générant toujours plus de conflits géopolitiques et de misère.  Le "développement durable" ou la "croissance verte" se révèlent alors être de tristes "manipulations" vendues pour continuer le "buisness as usual" sous une autre forme, donc l'exploitation irréversible des pays colonisés et du Vivant. 

La nécessité de la sobriété et de profonds changements de modes de vie et de fabrication apparaissent alors incontournables. 
C'est pourquoi la démarche low-tech, indignée face à ces constats gravissimes, souhaite montrer que les perspectives de décroissance matérielle et énergétique sont non seulement indispensables, mais qu'elles peuvent aussi être source d'épanouissement, d'émancipation et de convivialité (et non de retour à la bougie) !
En ce sens les low-tech ne sont donc pas que des bricoles pour s’amuser dans son garage, elles sont une perspective pour transformer nos sociétés, en recréant des réseaux d'artisan-nes ingénieux-ses, produisant des techniques sobres au plus près du besoin, à partir de réseaux de matériaux biosourcés ou récupérés, et ce dans un nécessaire contexte de transformation profonde de nos modes de vie et de production. 


**Des technologies sobres et artisanales**

Les low-tech sont donc des techniques, systèmes, services et savoirs-faire utiles, durables et peu consommateurs d’énergie et de métaux ! Elles nécessitent beaucoup d’ingéniosité pour pallier la sobriété des matières tout en optimisant des techniques et en les rendant utilisables dans nos quotidiens. 

Un exemple parlant déjà décrit plus haut, car une de nos low-tech phare, est celui du système de chauffage constitué par le combo d’un poêle bouilleur et de panneaux solaires thermiques ! Le poêle permet de remplacer par exemple le fioul domestique par du bois, tout en économisant une partie du bois consommé (ressource renouvelable à consommer avec modération) grâce à la chaleur du soleil capté dès que possible par les panneaux thermiques (production de chaleur, avec des matériaux sobres), qui diffèrent des panneaux photovoltaïques (production d’électricité, avec des matériaux high-tech, donc des métaux rares, donc de graves externalités négatives générées par leur extraction). 

Sobriété, absence de composants polluants, ingéniosité, complémentarité des sources d'énergie, maîtrise sur le processus de fabrication... voilà une belle low-tech ! Et il y en a tant d'autres à développer / fabriquer / installer ! 


V. Sources d'inspiration - 
Celles et ceux aux côtés de qui on va avancer !

Heureusement, face à ces défis colossaux, nous ne sommes pas seul-es ! De nombreux acteurs promeuvent, fabriquent et documentent déjà des low-tech de par la France et le monde. 

Parmi ceux qui nous inspirent, on peut citer : 

- Le Low-tech Lab ! Tiré par l’aventure du Nomade des Mers, un voilier qui recense et diffuse les low-tech à travers les mers et les ports du globe, le Low-tech Lab est une association pionnière des low-tech en France, qui participe à structurer un écosystème de la low-tech, à travers des expérimentations, formations, enquêtes, production de tutoriels, campagnes de sensibilisation... 

- L’Atelier Paysan ! Ils et elles sont quant à eux tournés vers l’auto-production de techniques paysannes (semoirs ou machines de travail du sol, systèmes d’irrigation, unités de transformation et bâtiments agricoles…) et défendent l’autonomie des paysans et paysannes, les savoir-faire partagés, l’auto-organisation, face à l’industrie des méga-machines.   

- Hameaux Légers ! L’association pionnière de l’habitat réversible en France, qui souhaite “permettre à toutes et à tous d’accéder à des habitats et des modes de vie durables et solidaires, pour des territoires plus vivants”, notamment en sensibilisant le grand public, en accompagnant les collectivités vers la mise en oeuvre de hameaux légers, ou en proposant des stages d’auto-construction de low-tech pour l’habitat.

- Eclowtech ! Une entreprise qui oeuvre au maximum pour la fabrication et la diffusion de low-tech pour tous-tes, basée du côté de Poitiers. C'est sur la base de leur prototype, partagé en open source, que nous avons construit nos premiers chauffe-eaux solaires.

- Philippe Bihouix ! Ingénieur centralien, il a participé, grâce à son livre “L’âge des low-tech” à généraliser l’idée que le “développement durable” était un mythe, et qu’une trajectoire soutenable doit se tourner vers des formes de décroissance matérielle et de low-tech.

Pour ce qui est de associations, entreprises, institutions, fondations qui nous soutiennent ou avec qui on monte des projets, voilà leur logos juste en dessous. Merci à elles ! 


Quelques petites précisions sur les contre-parties 


Au sujet des contre-parties, précisons quelques points :

1) Si vous êtes imposés sur vos revenus, vos dons -à partir de 50€- vous permettront de bénéficier d'une réduction d'impôt égale de 66% pour les particuliers (il faut indiquer case 7 UF de votre déclaration de revenus le montant des versements que vous nous aurez effectué) ou 60%  pour les entreprises. En effet l'Îlot Vivant fait partie des "organismes d'intérêt général présentant un caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, humanitaire, sportif, familial, culturel" permettant une réduction d'impôt. Cela veut dire que, pour les personnes payant l'impôt sur le revenu, pour un don de 100€ par exemple, cela ne vous coûtera que 34€ (66€ de réduction) !

2) Il s’agit en majeur partie de contre-parties qui favorisent l’échange, la rencontre, car on ne souhaite pas multiplier les “goodies” (ce qui serait légèrement contraire à la sobriété matérielle qu’on défend...) mais aussi parce qu’on pense c’est de trouver des moments de partage qui fait le plus sens ! 

3) Les montants indiqués peuvent paraître élevés par rapport à certaines contre-parties, mais, c’est d’une part parce que le montant que vous choississez de mettre reste un “don” de soutien que vous nous adressez pour développer un projet (et non un achat d’un service :)), et d’autre parce que certaines contreparties vont nous prendre un temps important, alors on les fera avec grand plaisir, mais forcément il faut qu’on s’y retrouve un petit peu : l’idée reste quand même de développer un projet coopératif ambitieux (pas de devenir une boîte de contreparties hihi) ; on est sûr-es que vous comprendrez bien !  

4) Les contreparties comprennent parfois plusieurs options, ce qui permet de s’adapter à vos envies, mais peut rendre la chose moins claire. Mais ne vous inquiétez pas, on vous recontactera pour définir avec vous quelle contrepartie vous souhaitez parmi les différentes options proposées. 

5) Enfin, si vous voulez des contreparties précises mais que vous pouvez nous faire un don plus grand que le montant indiqué (par exemple parce que vous bénéficier d'une réduction d'impôt qui rend le montant proposé assez faible une fois les 66% déduis), n’hésitez pas bien sûr ! (soit en augmentant le montant à partir du choix d'une contre-partie, soit en faisant un autre don d'un montant libre, ce qui permet aussi de bénéficier d'une déduction bien entendu) !
La démarche inverse (moins de don, plus de contre-parties) est moins conseillée hihi... mais pour des gens fauchés et passionnés, ça pourrait se discuter ! ;)


Merci d'avance à celles et ceux qui contribueront à l'aventure ! Et pour celles et ceux qui n'ont pas vraiment les moyens, pas de souci, un partage / relais de cette page autour de vous sera déjà un vrai coup de pouce ! Merci ! 

Pour toute question, n'hésitez pas, notre mail est ici : ilot-vivant@riseup.net

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Soutenez le projet du montant de votre choix. La déduction fiscale est proposée à partir de 50€.

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10

Décollage !

Un grand merci ! Un petit don ça va peut-être pas permettre de construire un avion low-tech (flûte alors), mais c’est un soutien qui fait toujours super plaisir en phase de décollage !

30
5/30

Banquet low-tech

Youpi, merci beaucoup ! On t’invitera à venir partager un grand banquet cuisiné aux petites low-tech dès que la Cantine mobile et ses cuiseurs/billig rockets seront opérationnels !

30
9/20

Fresque low-tech

Chouette, merci ! On t’enverra une sympathique fresque (lino-gravée) déployant les imaginaires de la low-tech, à afficher dans ton salon pour te donner envie de vivre dans un monde sobre et convivial (oui, tu as bien compris, tu vas payer pour recevoir de la propagande ! ;))

50
11/20

Initiation low-tech

Oh merci ! Comment te remercier ? On pourra aussi organiser pour vous une formation soudure - ou, en fonction des envies des participantes, d’autres petites initiations : utilisation machines, noeuds, réparation vélo… (ça peut aussi être une simple rencontre en petit groupe). Tu peux aussi choisir un combo des remerciements d’avant peut-être (ex : fresque + appel si tu peux pas te déplacer ou fresque + banquet) ?

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50

Gage drowle-tech

Ohoh, tu es joueur-se ! En même temps, tu nous files un sacré coup de pouce, alors, si ça reste faisable (et qu’on y passe pas 3 jours eheh), on sera ravi de réaliser le gage de ton choix (par exemple : envoyer une chanson remixée avec des paroles low-tech, publier un post drôle sur notre facebook…?). Précisons qu'on on se réserve un droit de veto (pas de calendrier des “dieux du low-tech” unh, on tient à notre intimité et puis... on a pas de gros muscles t’façon) !

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80
3/5

Lance ton projet low-tech !

Génial, merci ! On serait ravi de t’accompagner sur une demi-journée à réfléchir/ te conseiller sur la conception d’un projet low-tech ! Si tu es un-e voisine qui a besoin de conseils approfondis pour fabriquer en poêle rocket ou que tu es un-e jeune ingé en quête de projets pros qui font sens, c'est l'occasion ! (et pssst, si t’es jeune et fauché-e, mais que t’es très motivé-e, donne ce que tu penses juste pour toi et précise que cet accompagnement t'intéresse ;)).

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100

A toi de choisir !

Très grand merci ! En remerciement, tu pourras choisir un combo des différentes contre-parties précédentes (ex : fresque + banquet + initiation ; ou fresque + gage + ...?) ! On pourrait aussi voir avec toi pour te proposer des contre-parties au cas par cas, qu'on ne peut pas promettre dans toutes situations mais qui pourraient s'envisager (ex : une soirée+nuit+repas dans la yourte quand tu seras de passage dans le coin ; un super bol fabriqué au tour à bois...) (34€ après déduction d'impôt)

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100
0/3

Les low-tech à la Fac / l’école d’ingé

Oh cool ! Si vous êtes une asso étudiante, avec un petit budget venant de la fac/ de l’école, on sera ravi de venir intervenir dans un amphi dès que possible pour présenter ce qu’on fait :)

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150
7/10

Week-end avec les membres de l’Îlot/ la ViF

Merci !! Vous, on imagine que vous êtes des proches… ;) Peut-être seriez vous tenté, en guise de remerciement, de venir passer un week-end avec nous à la ferme des Petits Chapelais, en hébergement modeste (camping/dortoir) pour échanger autour des low-tech, mais aussi prendre le temps de rencontrer l’équipe, comprendre ce qui nous anime…! (51€ après déduction d'impôt)

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200
0/10

Un jour je me formerai / il-elle se formera !

Un grand merci ! En guise de conre-partie on t’offrira environ 50% de réduction (à ajuster en fonction des cas) sur une des nombreuses formations low-tech de plusieurs jours (chauffe-eaux solaires, poêles de masse…. et autres ensuite) qu’on va organiser dans les mois et années qui viennent (2 à 3 formations en 2021, le double en 2022) (68€ après réduction d'impôt)

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300
2/15

Stage auto-construction !

Ca, c’est plus qu’un coup de pouce, merci !! En remerciement, on t’invite à participer (ou à faire participer un proche) à une session d’auto-construction low-tech (au choix : panneaux solaires thermiques du 14 au 17 Juin ou à l'automne / poêle de masse à l'automne) sur quelques jours à la ferme des Petits Chapelais à Chavagne dans les mois (ou années) qui viennent (il y aura plein de choix à venir !). N'hésitez pas à nous contacter avant si besoin plus d'infos ! (102€ après déduction d'impôt)

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400
0/7

Le stage, et la low-tech avec !

Merci !! Pareil qu’au dessus, mais en plus, vous repartez avec le chauffe-eau (pour repartir avec le poêle, le prix sera a ajuster) ! (136€ après réduction d'impôt)

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500
1/5

Plancher sur la low-tech de votre choix !

Plancher sur une low-tech de votre choix ! Attention, vous allez nous faire devenir riches… L’atelier vous adresse un grand grand merci ! En remerciement, on pourra prendre 2 ou 3 jours pour plancher (avec vous, si vous voulez venir passer du temps à la ferme ?) sur une low-tech qui vous intéresserait bien ! On inventera pas la fusion nucléaire, mais on a de l’ingéniosité sous le guidon ! Dans l’idéal, contactez-nous avant pour ajuster les dons & possibilités ! (170€ après déduction)

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500

Intervention low-tech en entreprise

Merci beaucoup ! En remerciement, un-e ingénieur-e expérimenté en techniques et énergies alternatives pourra préparer une intervention de qualité dans votre entreprise, sur les sujets d’énergie low-tech ou d'autres sujets low-tech adaptés aux challenges de votre entreprise et/ou de ses parties prenantes. Contactez-nous pour affiner vos attentes ! (200€ après déduction d'impôt)

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2 000

Une low-tech dans votre boite ?

Merci beaucoup ! Les contre-parties proposées sont à discuter ensemble : elles vont du simple parrainage / partenariat de soutien à la possibilité de co-construire un dispositif low-tech (cuiseur rocket pour l’espace partagé, remorques à vélo…) avec une équipe issue d’une entreprise (ou d’un club d’entreprise) aux côtés des ingénieur-es low-tech de la VIF. Le montant du don peut être à ajuster en fonction des possibilités des entreprises (contactez-nous !). (800€ après déduction d'impôt)

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